Elena Barke, dont je retrouve l’écriture datée de
décembre 1964 (image de Norka dansant, de
Portocarrero découpant lui-même des étoiles de
papier pour l’arbre de Noël) en même temps que
je lis dans un journal qu’elle "déambule aujourd’hui
dans Mexico, malade du sida et presque sans voix"