La Flora de Portocarrero. Crétoise, métisse, basquaise ? Là je peux témoigner : je l'ai vu en aligner ainsi des centaines, toutes nées du même trait et toutes dissemblables, de profil, de face, une armée d'amazones gitanes, de courtisanes guerrières, belles comme des tatouages. Sur mes planches de contacts, on voit des timbres sans chiffre, tous différents.