C’est sans doute ainsi que m’espérait
ma famille, lorsque profitant du
voyage d’oncle Anton à Cuba, on me
confia à travers lui à l’établissement-
phare de la colonie française (et de la
bonne société cubaine). Le résultat
faut-il le dire fut assez différent : la
première, pour eux, d’une longue série
de déceptions. Et pour moi, un premier
regard sur une île qui devait tant
compter dans ma vie.