Lorsque sur la soie des montagnes
Gémira l'hiver,
Tous deux, seuls, nous demeurerons,
⎯ Toi, le bambou ⎯ Moi, le pin
Le vent tordra de ses mains froides
les autres arbres, nus et sans feuilles.
⎯ Qui alors ne nous enviera,
toi et moi, inchangés ?