Pendant mon dernier voyage à Tokyo : dans un passage, non loin de ce carrefour de
Yurakucho où il officiait, des affiches à la mémoire de M.Akao, qui a quand même fini
par rejoindre les dieux. Il incarnait la nationalisme le plus borné, l’anticommunisme le
plus paléolithique, mais il donnait à ses idées la figure d’un noble et digne vieillard.
Un le Pen élégant : il n’y a qu’au Japon qu’on peut voir des choses pareilles.